Bête en cour

Publié le par jacques thomassaint

Millions, milliards… en euros, en dollars… que font-ils de leur fric, les gangsters (oui, ce sont des gangsters, même s’ils habitent Neuilly) ? Ils en tapissent les murs de leurs toilettes ? Ils les bouffent en confiture ? Ils se les gardent pour la fin du monde ?

Celui qui a la réponse a toute mon estime. Je ne peux faire davantage, j’ai bien essayé de demander 100 000 euros à mon banquier, il n’a même pas daigné sourire !

Je lis sur des forums que les millions de la « Bête en cour », comme on disait déjà sous louis XIV, seraient son fric et qu’elle en fait ce qu’elle veut. Erreur, mon neveu ! L’aurait-elle gagné à la sueur de son front, ou des blanches menottes sur une chaine d’usine ? Nenni ! C’est de l’argent volé ! Si, si ! Volé !

Volé certes à des couillons qui acceptent de se laisser dépouiller en achetant les cochoncetés vantées par la publicité. Ils le valent bien ! Ça en fait, des kilos de crème antirides, les milliards de cette dame et de ses affidés. Le beurre et l’argent du beurre, et jusqu’aux nichons de la crémière !

Mesdames, pourquoi continuez vous d’engraisser ces bandits ? Seriez-vous masochistes ?

Ce n’est pas vous qui avez besoin de faire peau neuve. C’est ce monde-ci. Car ça sent quand même fort la pourriture. Depuis la tête, où l’employé de service s’échine avec ses potes à faire croire qu’on vit en démocratie vu qu’il a été élu au suffrage universel. Ce n’est pas ce qui, vulgairement, s’appelle se faire couillonner ?

Je sais, camarades, mes propos ne sont pas politiquement correct, vu qu’on est quand même en démocratie. Si vous le dites !

Faudrait demander aux « gens du voyage » ce qu’ils en pensent… ou aux travailleurs sans papiers… ou aux licenciés… ou aux ouvriers cédant au chantage chez GM… ou aux enseignants désobéisseurs… ou aux enfants enfermés dans les camps de rétention (doux euphémisme pour ne pas dire camp de concentration)… ou aux journalistes poursuivis pour avoir révélé ce qu’il fallait taire… ou… allez, vous trouverez bien la suite !

Preuve que la civilisation avance à grands pas : une petite fille de trois ans (oui, oui, trois ans !) qui cédait à une envie de pipi urgente au pied d’un arbre a reçu une contravention. Quand je vous le répète, qu’on n’arrête pas le progrès humain !

Publié dans politique

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article